Belle, sexy, douce, intelligente, maligne, astucieuse, perspicace, imaginative, bavarde,
mystérieuse, rigolote, intuitive, sensible, romantique, câline, courageuse, susceptible…
Tout cela et bien plus encore car
Handicapée, oui mais … Femme avant tout !
Attention : Les informations présentées ci-après ont été obtenues sur Internet ou suite à des recherches personnelles.
Elles sont donc sujettes à erreur et ne sont qu'indicatives. Pour plus de sécurité, consultez les "liens utiles " en bas de page et un médecin traitant si nécessaire.
Psychothérapeute et militante, feministe et pionnière en Suisse du combat pour la sexualité des personnes handicapées, Aiha Zemp se sera battu jusqu'au bout et nous a quitté aussi dicrètement qu'elle a su toujours être. Et pourtant, malgré son départ, le combat reste toujours d'actualité.
De ses études de journalisme à l'Université de Fribourg, elle a gardé le goût de la lutte, le combat pour une reconnaissance des femmes handicapées dans le cirque médiatique et une lutte pour les droits personnels ou sexuels.
Elle nous a fait de son mieux pour nous tracer le chemin, à nous de poursuivre son travail et lui donner raison.
Une grande dame nous a quitté il y a plus de 5 ans déjà et pourtant…
En s'inspirant du cas de son cousin Jake, hémiplégique et paralysé sur un côté, qui désirait plus d'autonimie dans son habillement quotidien, cette étudiante styliste au Parsons School of Design a eu l'idée de créer une collection pour des personnes assises.
L'une des gagnante du Womenswear Designer of the Year award - Parsons and Kerings Empowering Imagination Contest 2015, récompensée au New Challenge Contest pour son projet "Disability and Beauty" et de la distinction "Designer de l'année 2015", elle est partie d'une idée pourtant toute simple : Rendre la mode commune polyvalente et accessible aux personnes handicapées plutôt que d'en créer une autre spécialement adaptée pour ces dernières.
Remarquant qu'une personne assise voit ses proportions se modifier, essentiellement à la taille, aux hanches, au niveau des cuisses, ou a besoin de plus de tissu et de renforcements, par exemple aux coudes ou genous, elle a repensé des habits du quotidien en intégrant ses éléments afin de les rendre modulables aux besoins de chacun.
Graâce à des replis esthétiques ou des dessins en accordéons judicieusement disposés, des ouvertures et fermetures éclair supplémentaires, elle a conçu des vêtements pouvant s'adapter à des besoins et des conditions différents.
En 2007, la vie d'Heidi McKenzie a basculé lorsque, victime d'un accident de voiture, elle devient paraplégique T4.
Déterminée à ne pas laisser abattre, elle termine ses études et remporte même un concours de beauté : Miss Wheelchair Kentucky.
Mais elle se heurte à une triste réalité qui l'empêche de se sentir à son aise : les vêtements qu'elle aimerait porter ne lui sont pas adaptés.
Alors, une fois encore, plutôt que de baisser les bras, elle qui se rêvait styliste, lance un appel de fond public et crée sa propre maison de confection destinée aux personnes en fauteuil : Alter UR Ego !
Et en association avec la couturière Kristin Alexandra Tidwell, elle imagine une paire de jeans adaptée aux personnes en chaise roulante.
Le parcours extraordinaire d'une femme diplômée et premier modèle en fauteuil roulant à la semaine de la mode de New York … en savoir plus
Fashion Follows Form : Designs for Sitting
Beauty does not come in one shape or form…
La beauté n'a pas une forme ou des contours figés, elle est multiple et variée.
C'est la trame de l'exposition présentée par Izzy Camilleri au Royal Ontario Museum de Toronto (Canada), du 21 juin 2014 au 25 janvier 2015.
Une collection de costumes et tenues pour des modèles non pas debout mais assis…
Avec un titre aussi tapageur de ton que d'une profondeur évidence de fond, l'émission "C'est au programme" de FranceTV sest intéressée, le 23.06.2014, à la condition des personnes handicapées en fauteuil roulant par la lorniette de la mode.
C'est un début… Et si c'est aussi le programme, espérons que la suite ne va pas tarder.
Aujourd’hui, dans une société d’images et d’apparences, il n’est pas
aisé, voire paradoxal pour l’individu, et a fortiori pour les minorités
dites visibles, de se sentir accepté, respecté, tout en voulant
affirmer sa différence, sa spécificité quand l’aspect, la forme externe
deviennent si prégnants et prétendent rendre compte de la personnalité
et du caractère individuel des personnes… Alors ces femmes fragiles
et fortes à la fois, plus encore que celles dites valides, comment
peuvent-elles s’affirmer indépendantes et séduisantes, respectées et
désirées ?
(source : HandiMarseille)
Superbe, la mode dans toute sa splendeur et sans frontières, quel travail exemplaire de la styliste Sabina Gorelik, présenté le 31 mars 2014 à la Semaine de la Mode de Moscou.
Diesel et Carrie Hammer, deux marques de prêt-à-porter, ont choisi de s'afficher avec des mannequins en fauteuil roulant, Danielle Sheypuk et Jillian Mercado. C'est beau et ce n'est que le début…
pour en savoir plus… Au féminin, Melty fashion, Respect mag, Public.fr, Pure break, New mobility
L'illustré, dans son numéro 29, du 20 juillet 2011, publie le nom et la photo des dix candidates au titre de Miss Handicap 2011, dont deux romandes et toujours aucune tessinoise. Cette année, le concours a pris à un d'homogénéité puisque ces beautés souffrent toutes de problèmes musculaires et de motricité.
Miss Handicap 2010 : Jasmin Rechsteiner succède à Corinne Parrat, Miss Handicap 2009 (page spécial forum myhandicap - en allemand)!
Aussi invraisemblable que cela puisse paraître, seul l'édition 20Minutes a rempli un travail journalistique digne de ce nom en relatant les résultats de MissHandicap 2010! Le journal 24Heures s'est contenté quant à lui de faire un article d'un paragraphe à peine pour son édition virtuel du dimanche.
Mais rien dans l'édition officielle publique.
À ce niveau, il égale à peine en qualité le journal vituel Schweizer Illustriete Online qui, au moins, y a ajouté une photo!
L'hebdomadaire L'illustré va quant à lui, faire paraître un reportage sur Soraya Elouaret, la deuxième dauphine, dans son premier numéro de décembre 2010.
Et quand on pense au choux-gras que les uns et les autres se font sur la gagnante du titre chez les valides, cela devient d'autant plus risible!
Chose étonnante d'ailleurs, malgré la présence de la femme du patron du groupe de presse Ringier dans le jury ou d'un animateur du Lemanbleu, aucun de ces médias ne semble s'être donné la peine de relayer l'information.
Est-ce parce que la gagnant, Jasmin Rechsteiner, souffre de cyphoscoliose, soit une double déformation de la colonne vertébrale, associant une déviation latérale (scoliose) et une déviation à convexité postérieure (cyphose)?
C'est vrai que la gagnante de l'année dernière, Corinne Parrat, sourde, avait suscité bien plus d'écho dans la presse. Est-ce par que sa beauté, bien plus classique, était aussi moins dérangeante?
Que sa plastique, conforme à la "normale", ne donnait lieu à aucune remise en question? Que sa beauté classique n'obligeait pas le "bien pensant" en remettre en question son immobilisme égoïstement criminel?
Pourtant Jasmin Rechsteiner est à nos yeux une bien meilleure Miss Handicap 2010 en ce sens qu'elle représente mieux l'éventail des handicaps possibles et leurs conséquences sur l'image communément admise de la femme sans que pour autant, au second regard, cela n'altère en rien la beauté de la personne!
Après le silence médiatique qui a entouré la première édition en 2009, voilà que la nouvelle part sous de meilleurs auspices avec un petit encart et une photo dans l'hebdomadaire "L'illustré" Nr 34, page 12.
On peut y voir les nouvelles figurantes sont plus "homogènes" que lors de l'édition précédente où les disparités et les handicaps de toutes sortes faisaient que les concurrentes n'étaient pas vraiment sur un pied d'égalité, surtout devant un jury de profane ou avec si peu de temps pour se mettre en valeur devant le public.
Mais cette uniformité n'est qu'apparente car si nombre de filles sont à mobilité réduite (accidentelle ou maladive) ou malvoyantes, une souffre d'une malformation des bras et une autre est sourde.
Question: Comment comparer une fille sourde, visuellement "intacte", avec des filles visiblement handicapées?
La cuvée 2010 sera-t-il un remake de l'année passée ou une tentative de se racheter une légitimité?
Après l'annonce dans "L'illustré" (parution du groupe Ringier, voir ci-après pourquoi), c'est au tour du journal 20Minutes de faire un article sur Miss Handicap 2010.
Après une édition 2009 où la presse suisse brillait lamentablement par son absence - alors que France3 Alsace était présente! -, voici qui est de bon augure pour la seconde édition de cet évènement.
Espérons que ce ne sera pas feu de paille et qu'elle en rendera compte jusqu'au bout, comme n'importe quelle autre élection de Miss Suisse!
À notre demande d'information du 02.09.2010 une réponse partielle a été donnée le 11.10.2010... Mieux veut tard que jamais.
Il en ressort que cette année, l'élection intègre dans son jury deux personnes concernés de près ou de loin par le handicap, à savoir Mme Ellen Ringier, docteur en droit, parraine de la Fondation MyHandicap, de la Fondation ElternSein ou de la récente journée mondiale de la trisomie 21 et également épouse du directeur des Éditions Ringier, ainsi que Heinz Frei, le plus médiatique des employés de Centre hospitalier SPZ de l'Association suisse de paraplégiques, à Nottwil, également multiple champion olympique de handbike.
Par ailleurs, la mission de Miss Handicap étant, sur papier, de donner une meilleure image du handicap en le représentant avec charme, il nous a été proposé de consulter la page agenda du site pour connaître les lieux visités.
Malheureusement, cette page uniquement disponible dans la version allemande du site, se compose que de lieux situés en Suisse allemande, principalement Bern, Zürich, SPZ-Nottwil, Basel (siège de la Fondation suisse des paraplégiques), Thun. Aucune représentation en Suisse romande ni en Suisse italienne!
Parmi les 12 finalistes, 4 bernoises, 2 bâloises, 1 grisonne, 2 romandes et aucune tessinoise! La plupart des filles étaient en fauteuil, une autre fille à mobilité réduite plus légère, une malvoyante, une autre encore n'avait plus ses bras et enfin, une était sourde. Comment comparer et classifier ce qui n'est pas comparable?
Comment en 5 ou 10 minutes faire le tour d'une vie de handicap quand justement, ce qui rend une fille handicapée bien plus belle qu'une plus commune, c'est qu'au delà de sa plastique, elle développe une "sacrée personnalité"?
On peut clairement regretter que parmi toutes ces beautés, la fille élue ait été celle dont le handicap était le moins visible: la surdité. Même dans cet évènement qui se veut une ouverture sur le handicap, on a senti lourdement le poids des préjugés.
Quel intérêt de faire une Miss Handicap et pour élire une fille d'apparence "normale"? Des Miss sourdes, il en existe déjà sans qu'il faille faire une élection spéciale pour ça: Ainsi Sophie Vouzelaud, Miss Limousin 2006 et 1ère dauphine à l'élection de Miss France 2007! Est-ce travailler dans l'intérêt des beautés handicapées qu'ici aussi mettre en avant une plastique "classique" plutôt que de chercher la plus belle au delé de son handicap?
À moins que ce ne soit la faute à l'amateurisme d'une première édition : Une énorme méprise a fait monter sur la scène deux malchanceuses aussitôt déclassées quand la bévue fut découverte. Peut-on parler de respect du handicap quand on a déjà si peu de respect pour les personnes?
Poussant l'amateurisme de cette édition à son paroxysme, outre la «fausse nommination » de deux candicates malchanceuses, de nombreuses représentations publiques ont été annulées par la suite.
MISS HANDICAP 2009 - Un projet d'élire une Miss Handicap 2009 est en gestation en Suisse alémanique, même si des candidates d'autres régions sont les bienvenues.
Le but est de briser le préjugé qui rend impossible dans l'esprit de beaucoup de gens d'unir handicap et beauté. Le concours prévu en novembre 2009, doit marquer les 5 ans d'existence de la loi sur l'égalité des personnes handicapées.
(source : Le Matin Bleu, 8.12.08)
«Vous êtes une personne ayant un handicap, vous avez envie d'apprendre à vivre heureuse avec votre handicap, vous êtes combattante, souriante et vous possèdez une joie de vivre.
Ou vous êtes une personne qui est timide et elle cherche une méthode de changer sa vie et créer un réseau plus solide qui partagera avec elle ses peines et ses douleurs.
Nous vous invitons à prendre contact avec nous afin de vivre des moments valorisants et plein d'émotions.
L'Association Handi-Culture organise chaque année une soirée de Miss Handi-culture.
Miss Handi-culture c'est le symbole de la femme, bonne vivante, possèdant un esprit ouvert, courageuse et ambitieuse.
Avec sa force de caractère, elle a envie de mettre sa beauté intérieure, sa personnalité, ses compétences en valeur.
C'est la femme exemplaire que chaque personne handicapée.» R�sultats de la soirée du 25.11.09 (format .pdf)
Retour sur une soirée haut en couleurs et tout en contrastes:
Quelques semaines après une édition Miss Handicap, voici venu le temps de Miss Handi-Culture.
A priori, en sortant de là, on est tenté de dire :«À qui le tour, maintenant? Miss Terre et Boule de gomme!»
Pourtant d'apparence semblables, ces évènements n'avaient que peu de chose en commun.
L'expérience : Si Miss Handicap n'en est qu'à sa 1ère édition, Miss Handi-Culture en est déjà à sa 7ème! À se demander légitimement pourquoi ce doublon?
Imagine-t-on d'avoir plusieurs Miss Suisse et pourquoi pas une pour chaque jour de la semaine plus une de remplacement?
Les partenaires : Malgré son ancienneté, Miss Handi-Culture ne bénéficie que de soutient de personnalités politique alors que Miss Handicap bénéficie du sponsoring de Novartis, de Orthotec Nottwill (SPZ), entre autres.
Cela étant d'ailleurs, Miss Handicap a mieux pu préparer son marketing médiatique national et bénéficie d'une site Internet propre là où Miss Handi-Culture n'a pu encore vraiment parfaire ni l'un ni l'autre, ayant construit son site auprès d'un hébergeur gratuit.
Les candidates : Étonnamment, malgré ses années d'avance, Miss Handi-Culture n'a réuni que des filles romandes (Genève, Vaud, Valais) et deux de France voisine alors que Miss Handicap avait des représentantes suisse-allemande autant que francophone.
Parallèlement, toutes les postulantes de Miss Handi-Culture étaient à mobilité réduite là où Miss Handicap réunissait également une sourde, une aveugle et une fille sans bras.
S'il est déjà difficile de choisir en 10 minutes parmi des personnalités différentes, cela ne devient-il pas irréaliste quand en plus elles ont des handicaps différents?
Les projets ne sont pourtant à la base pas si différents, j'en veux pour preuve l'annonce (gratuite) de Miss Handi-Culture sur Internet sous la dénommination "Miss Handicap"!
Le cadre : Miss Handicap s'est déroulait au Kursaal de Berne ainsi que dans des instituts esthétiques du centre ville alors que pour Miss Handi-Culture, tout était concentré au même endoit à savoir le Grand Hôtel Kempinski.
S'il s'agissait à chaque fois d'établissement de qualité, le luxe éclatant et la situation en centre ville du Grand Hôtel n'avait pas d'équivalent à Berne.
Mais est-ce vraiment nécessaire de faire scintiller les dorure quand on cherche à défendre la cause du handicap?
L'encadrement : Si Miss Handicap était géré par une équipe de jeunes (moyenne d'âge de 30 ans environ), visiblement plus amusés par les fastes de la cérémonie que par le sujet, Miss Handi-Culture est dirigé personnellement par Madame Dalila Vionnet d'une main de fer.
Bien qu'elle-même en fauteuil et secondée par plusieurs amie, elle garde le dernier mot sur l'évènement comme sur son enfant.
Si Miss Handicap souffrait de cacophonie ou d'aproximation, Handi-Culture a tant été mené au détail près pour être satisfaire les standards de la bienséance que souvent, on en oubliait presque le handicap, pourtant au centre de toutes les questions et qui en passait du coup au second plan.
Le Jury : C'est peut-être là un des points les plus délicats dans ce comparatif.
Dans le cas de Miss Handicap, le jury était formé de:
Tanja Gutmann, comédienne, modèle, Animatrice Miss Suisse 1997
Christian Wenk, médecin, pianiste, sportif de handbike
Nasanin Nuri, Miss Earth Suisse 2008
Olivier Marilluer, Mister Romand 2008, modèle, animateur radio
Vanessa Grand, chanteuse et journaliste à mobilité réduite
Question : Qu'est-ce qu'un jury peut connaître ou comprendre du handicap quand il est formé à 80%, comme c'est le cas ici, de personnes issues du monde superficiel et éphémère de l'apparence ou de la mode?
En comparaison, le jury de Miss Handi-Culture est composé de personnalités dans le domaine des médias, de la beauté, de la musique parmi lesquelles :
Veronica Sanchis, présidente du Jury et Miss Handi-Culture sortante 2008-2009, également devenue depuis membre du comité
Une triste preuve de la "stérilité" de la soirée a été donnée lorsque, de concert, on a pu entendre une phrase que ne renierait pas l'animateur vedette français Jacques Martin et qu'il avait coutume d'utiliser pour son "École des Fans": «Elles sont toutes méritantes.»... Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil... comme disait un autre regretté animateur humoriste français, Jean Yann, quand il s'agissait de décrire l'hypocrisie d'un monde où il est plus question de faire semblant que d'action, où on vous congratule longuement pour vous faire chuter plus durement quelques instants plus tard, d'un revers de main.
Comment des personnes issues de la mondanité peuvent-elles soudain juger des personnes vivant dans la marginalité, dans le handicap? N'est-il pas vrai que les fleurs poussent en bordure des chemins lisses et plats?
Alors, que peut-on comprendre de la marginalité, du repli sur soi et de la richesse intérieure quand on n'a soi-même vécu que dans l'instantanné d'une course après la gloire et le faste d'une vie à marche sous les feux de la rampe?
Le Comité d'honneur : Si Miss Handicap ne dispose de rien d'équivalent, Miss Handi-Culture est parrainé par des personnalités de haute volée, telles que:
Directeurs général du HUG et des services sociaux de Genève
Président d'Association de Communes
Directeur d'établissement hôtelier prestigieux
À quel niveau et sur quels critères des personnalités de la politique ou des affaires peuvent-elles intervenir des personnes handicapées quand dans leur quotidien et l'exercice de leur fonction, elles tardent à faire preuve de tout l'intérêt nécessaire et de montrer leur engagement en appliquant des décisions politiques d'envergures et coûteuses?
Le contact : Devant l'insolence et la suffisance de l'équipe de Miss Handicap qui n'a jamais daigné répondre à nos prises de contact ni offrir le moindre accompagnement sur place, on remarque l'attention de Mme D. Vionnet qui, à elle seule, s'est empressée de répondre au mieux à toutes les exigences.
Par ailleurs, lors de la remise des prix, une grossière erreur de nom a été faite au Miss Handicap, appelant deux candidates malheureuses avant de les reconduire aussi sec.
Au final, cela n'a pourtant pas mis mal à l'aise qui que cela soit dans l'organisation qui ne s'est même pas fondue en excuses, officiellement, démontrant son amateurisme ou un manque certain de respect vis-à-vis des candidates handicapées engagées.
Le résultat : Si le Miss Handicap brille par son absurdité à vouloir comparer des personnes souffrant de handicap différent uniquement sur l'aspect esthétique et a "naturellement" vu la consécration de la moins visuellement handicapée des candidates, la sourde, le projet Miss Handi-Culture et qui n'a de culture que le nom
- puisque les candidates se voient contraintes de réciter en 2 minutes un texte apprises par coeur où leur vie et leur personnalité sont résumées en 5 lignes -, les candidates souffraient au moins toutes d'un handicap de mobilité commun, bien qu'à des niveaux différents.
Et presque évidemment, la gagnante était une de celles dont le handicap était le moins visible.. sur photo!
Presse : Dans les deux cas, on ne peut que regretter la couverture médiatique plus que lamentable de la presse helvétique dans son ensemble.
Car si à Berne, France3 Alsace avait fait le déplacement et à Genève, on a pu compter sur la présence du rédacteur en chef du journal GHI ainsi que d'un reporter pour la Tribune de Genève, et c'est tout à leur honneur, aucune trace de la Télévision suisse romande TSR ni des autres journaux qui d'habitude font leurs choux gras avec les Miss Suisse... valides!
Le Matin Dimanche a publié une page treize où dans une foule de visages souriant, essentiellement ceux de sponsors ou de personnalités et tous valide sinon debout, on voit une petite photo de la deuxième dauphine en fauteuil... presque à titre de figuration.
Un peu pauvre pour montrer le handicap, non? Comme si à l'élection de Miss Suisse, on ne montrait en photo que les fleuristes et leurs créations, voire accessoirement la carte du menu!
Suites : Si Miss Handicap compte devenir un "business qui roule", l'association Miss Handi-Culture a l'ambition plus respectable de faire encore parler du handicap lors d'un congrès au Caire prévu du 8 au 14 novembre 2010.
Le thème en sera «L'avenir de la personne handicapée au XXIe siècle» et le but de demettre en évidence les différences entre la Suisse et l'Égypte.
Les thèmes ci-après sont tirés de sites collègues dans le monde ou proposés par les internautes.
Merci de lire ces échanges et d'y apporter vos commentaires ou vos corrections pour faire avancer les débats. N'hésitez pas non plus à lancer un sujet qui vous tient à coeur...
Il n’est peut-être pas nécessaire de victimiser davantage les femmes au sein de la société : qui doute encore qu’il existe nombre d’inégalités entre hommes et femmes dans le traitement que l’on réserve à chacun, qu’il s’agisse d’éducation, d’emploi, de salaire, de répartition des tâches ménagères, de violences... ?
Pourtant, force est de constater qu’une femme ayant un handicap, au même titre qu’une femme dite « valide » face à un homme dit « valide », n’a pas accès aux mêmes chances, aux mêmes opportunités qu’un homme ayant le même handicap qu’elle.
Pas très surprenant lorsque l’on a conscience des inégalités entre les sexes en dehors de tout handicap.
Mais être femme et être handicapée, ce ne devrait pas être un double challenge...
Débat HandiMarseille avec Mme Agnès Bonnet, Maître de conférence en psychologie et psychopathologie cliniques à l’Université de Provence
Qui sont les femmes handicapées ?
Selon l’Organisation Mondiale des Personnes Handicapées, ce sont les femmes « qui ont un ou plusieurs handicaps, et qui sont confrontées à des barrières sociales ».
Cela les inclut toutes, quelle que soit leur culture, classe sociale, préférences sexuelles, etc...
Les Nations-Unies précisent que le handicap peut être physique, sensoriel ou mental, visible ou non ; ce qui comprend notamment le diabète, les pathologies cardiaques et le cancer du sein.
Citons encore l’O.M.P.H. : « une femme handicapée rencontre diverses limites : en tant que femme, elle est considérée comme une femme à qui il manque quelque chose ; à ce titre, la féminité vient en première ligne. »
Ces inégalités se chiffrent.
Par exemple, le taux d’alphabétisation mondial des adultes handicapés est de moins de 3%.
Il atteint 1% dans le cas des femmes handicapées (Etude du PNUD, 1998 – Source : Département de l’information de l’ONU).
Dans l’Union Européenne, le taux d’emploi des femmes handicapées est de 2%, contre 36% pour les hommes handicapés (et 55% pour les femmes non handicapées).
Et puis, il y a l’accès aux soins : la situation en termes de gynécologie est assez inquiétante.
L'association Réponses Initiatives Femmes Handicapées - RIFH a mené l’enquête et démontre à quel point il y a un manque en ce qui concerne les femmes handicapées.
Beaucoup de cabinets de gynécologie sont inaccessibles aux fauteuils roulants, les tables pas toujours adaptées au handicap...
Sans compter, plus révoltant encore, l’attitude parfois méprisante des personnels.
Il semble que l’idée même de la sexualité des personnes handicapées soit d’ailleurs un sujet qui en dérange plus d’un, et qu’on ait tendance à vouloir en faire des êtres asexués...
Infantilisation ou angélisation ? Il n’est pas nécessaire de trancher cette question ici.
Mais force est de songer que la sexualité est aussi étroitement liée à notre identité sexuelle, qu’il s’agisse de féminité ou de virilité, et que si son épanouissement est entravé, tout un pan de notre identité peut en être destabilisé...
Mais d’abord... Qu’est-ce qu’être femme ?
Quels sont nos critères pour évaluer la féminité... Quelle est la représentation que l’on a de la femme, comment définir le rôle qu’on lui attribue au sein de la société ? Qu’est-ce qui fait d’une femme, une femme ?
Les signes extérieurs de féminité, les formes, la coquetterie ? Maquillage, coiffure, bijoux et vêtements... ? Ou bien serait-ce plutôt les qualités “typiquement féminines”...
La sensibilité, la naïveté peut-être, la grâce, la douceur, la gentillesse... ? Le fait d’être aux petits soins, attentionnée ? Peut-on aussi bien définir les sexes et leurs caractéristiques ?
La limite est-elle si nette entre homme et femme ? Ne peut-on posséder des traits “de l’autre sexe” sans se laisser définir par la catégorie à laquelle ils sont généralement attribués ?
Ndr : Mais au delà de ces clichés sociaux forcément réducteurs et ses communes divisions entre les différentes déterminantes de chaque appartenance sexuelle, n'est-il pas donné à chaque personne la liberté de convenir de ses préférences personnelles comme de ses choix de vie.
A fortiori, toute femme, indépendamment de toute notion de handicap, a le droit de vivre à sa propre façon sa vie de femme et sa femminité; fémnité qui n'est, après tout, qu'une notion toute théorique, née de la recherche d'une base commune entre toutes les différentes types de femmes, existant ou ayant existé.
Du moins, c'est à cela que devrait être limitée la notion de "féminité", sorte de condensé statistique en perpétuel changement à mesure que les habitudes changent et dont il est bon de s'éloigner pour marquer sa personnalité, plutôt que comme une exigence minimale servant à l'identification sociale.
Les règles et pertes mensuelles font partie intégrantede la vie des femmes mais là encore, elles ne portent pas identiquement à conséquence chez toutes.
Si certaines les vivent sans trop de problèmes voire sans aucun souci, d'autres peuvent beaucoup en souffrir : douleurs, faiblesse, perte d'attention ou d'équilibre, abondance, gêne, humeur changeante…
Pour combattre ces contrariétés non-plus, toutes les solutions ne sont pas toujours bonnes à prendre. Ainsi :
Dand les faits, plus de 100 millions de femmes dans le monde utilisent la pilule ou l'ont utilisée dans le passé.
L'estimation des effets indésirables est alors rendue complexe par le grand nombre de marques sur le marché (soit environ 40 pour les contraceptifs oraux et 21 pour les pilules d'urgence).
Le risque d'accident vasculaire cérébral (AVC)) a déjà été associé aux contraceptifs oraux, notamment ceux à doses élevées d'oestrogène synthétique (jusqu'à 150 microgrammes).
Si les contraceptifs oraux augmentent le risque d'accident vasculaire cérébral ischémique, le type le plus courant d'AVC, ils ne semblent pas augmenter le risque d'AVC hémorragique.
Cela étant et tout compte fait, on estime donc à 4,4/100.000 l'incidence d'AVC chez les femmes en âge de procréer.(Source : pour en savoir plus)
Sexualité Féminine
Attention : Ces informations, souvent tirées d'Internet, ne remplacent pas un avis médical spécialisé
et ne constituent tout au plus que des éléments de réflexions ou de connaissance.
Si les lésions médullaires peuvent compromettre, chez l'homme, la qualité des érections.
Chez la femme, elles peuvent aussi avoir leur influence en altérant le désir ou en générant des rapports douloureux.
Bien que plus rares ou moins visibles, ces conséquences n'en restent pas moins potentiellement préjudiciables au bien-être quotidien.
Toutefois, une femme peut atteindre l'orgasme et être épanouie en dehors du coït.
Les chemins de ces "autres" plaisirs passent par exemple par le clitoris, les rapports bucco-génitaux, la masturbation, les caresses, les manipulations sensuelles ou l'usage d'un godemiché.
Il convient de prévoir de compenser le déficit de lubrification par des gelées spermicides, qui ont en plus un rôle protecteur contre les infections, ou un lubrifiant adapté.
Heureusement, même dans les cas de lésions hautes avec anesthésie complète des organes génitaux externes et internes, la femme peut éprouver des sensations orgasmiques lors d'une pénétration profonde grâce à l'innervation du fond du vagin par le nerf vague venant de très haut et non touché par le traumatisme.
Les femmes décrivent des bouffées de plaisir, sorte de fourmillement qui remonte dans les seins et le cou et donne une sensation de plénitude.
Conseils pratiques
Avant tout rapport sexuel, il est important de veiller à avoir les parties en contact (mains, organes géniatles) aussi propres que possible et de se couper les ongles si nécessaire afin d'éviter toute irritation ou lésion accidentelle.
Les meilleures manières d'assurer une bonne lubrification de la région vaginale restent la mise en condition et les préliminaires sexuels.
Souvent, la mise en confiance, l'atmosphère, les gestes de volupté (caresses, massages, cunnilingus, jeux érotiques…) suffisent à susciter le désir et donc à stimuler la lubrification naturelle ou la dilatation des organes sexuels.
Toutefois, si malgré tout, la lubrification reste défaillante (âge, tabac, certains antidépresseurs, allaitement, abstinence prolongée…) il existe des solutions qu'il faut alors appliquer.
(…en savoir plus)
Vagin peu lubrifié, comment améliorer la pénétration ?
Il est recommandé de pallier le manque de lubrification naturelle en utilisant une crème vaginale du type "gel intime".
Attention, les crèmes parfumées peuvent aussi être cause d'allergie chez les personnes sensibles.
La vaseline
Déconseillé avec le préservatif, l'utilisation de la vaseline est à proscrire car elle colle aux muqueuses et il est difficile de s'en débarrasser, ce qui augmente le risque d'infection.
Il vaut mieux utiliser des crèmes spermicides qui présentent les avantages de limiter les infections gynécologiques et d'être utilisées avec des préservatifs.
Contractures violentes et gêne durant les rapports sexuels. Que faire ?
En adoptant la position sur le côté (voir ici).
La pénétration se fera alors par derrière, le vagin étant très accessible de cette manière.
Je suis tétraplégique et hyperspastique. J'ai trouvé qu'il y a des zones sur les jambes pour stopper les contractures (soi-même ou à l'aide d'une personne), en appuyant près de l'aine, sur les côtés des genoux ou bien en soulevant la jambe sous le genou.
Donc il est possible de faire l'amour sur le dos en ayant les jambes pliées si le partenaire s'occupe des genoux !
Une femme, peut-elle faire l'amour avec une sonde à demeure ?
Oui. La sonde est tube de plastique flexible installé temporairement dans le corps pour permettre l'administration ou l'écoulement d'urine.
Elle ne dérange en rien l'acte de pénétration. Au besoin, il suffit alors de faire remonter la sonde dans le pli de l'aine et de la fixer sur le haut de la cuisse ou sur le ventre avec un bout de sparadrap.
Le coït devra se faire en douceur afin de ne pas entraîner une éventuelle douleur ou une irritation de l'urêtre (la paroi entre le vagin et l'urètre est très fine).
En cas d'utilisation de préservatif, il est toutefois conseillé d'ôter la sonde au préalable afin d'éviter que ce dernier ne se déchire.
Crispation vaginale ou anale
Pour éviter toute crispation vaginale ou anale, il est primordial que le rapport soit pleinement consenti et apprécié de chacun des partenaires.
Une bonne préparation, un climat de confiance et un partage réciproque permettent souvent de couper court à toute éventualité gênante.
Il est également important d'y mettre le soin et le temps nécessaire, sans aucune précipitation ou prise de risque.
Toutefois, si la crispation persiste, on peut tenter de l'assouplir en appuyant patiemment contre les parois internes de l'orifice avec un ou deux doigts préalablement lubrifiés.
Le vibromasseur
Cet outil s'utilise toujours avec une bonne lubrification afin d'éviter les irritations cutanées.
Si besoin, il est recommandé d'humidifier localement avec un lubrifiant (corps gras, salive, gel intime…) et de stimuler la zone afin d'éveiller la sensibilité naturelle.
Selon le choix de la zone à exciter, on démarre les vibrations lentement en effectuant :
… De légers mouvements autour de l'orifice (vaginal ou anal), sans trop de pression, afin d'exciter les nerfs.
Si l'excitation devient irritation, il vaut mieux arrêter là l'expérience. Sinon éveiller localement les sens avec des mouvements circulaires aléatoires du bout des doigts ou de la langue puis doucement presser sur le vibromasseur afin de le faire pénétrer;
… De légers mouvements de rotations ou de va et vient contre le mamelon du sein;
… De légers mouvements de rotations ou de va et vient contre le clitoris;
… De légers mouvements autour de l'orifice vaginal, sans trop de pression, pour exciter les parois externes.
On peut à choix s'exciter avec des mouvements aléatoires contre les lèvres ou introduire le vibromasseur en effectuant des mouvement de va et vient.
Crainte d'avoir des fuites urinaires pendant les relations sexuelles.
Avant toute chose, il faut dédramatiser. Le facteur psychologique est souvent la principale source des petits soucis de la vie amoureuse.
Ensuite, il est conseillé de prévenir son ou sa partenaire du manque de contrôle des sphincters afin que celle-ci / celui-ci ne soit pas pris(e) au dépourvu ni ne se sente abusé(e).
Un dialogue préalable permet de souder la relation au delà de l'événement. La perte de contrôle arrive parfois lors du relâchement qui suit la relation sexuelle, avec l'âge, certains médicaments ou encore l'excès alcool.
Par prudence, il vaut mieux éviter de boire en excès et surtout vider sa vessie dans la mesure du possible avant l'acte. La spontanéité en prend un coup mais au bénéfice du bien être intérieur.
Comment parer aux incontinences fécales(fuites de selles) ?
Cela représente souvent l'une des conséquences du handicap la plus difficile à surmonter et à maîtriser. Comme dans le cas des fuites urinaires, le mieux c'est d'en parler.
Ponctuellement, au moment du rapport sexuel, il est possible d'introduire dans l'anus un tampon obturateur en mousse de polyuréthane.
Au contact de la muqueuse, il s'évase en corolle en moins d'une minute et assure une barrière efficace contre les fuites.
Sinon, il faudrait trouver un équilibre alimentaire quotidien et manger des fibres en suffisance mais sans éxagération, éviter les laxatifs violents, limiter les fruits ou légumes secs… Certains aliments sont dits plus laxatifs, en particulier le kiwi, le melon, les jus de pomme, les pruneaux ou les épinards.
L'anus est un muscle. Comme tout muscle, il est donc sujet à crispation ou au contraire peut être avantageusement détendu. Et tout comme pour les exercices sportifs, il existe des substances chimiques pour y aider (type vaso dilataeur).
La sodomie ne présente que peu de risque pour autant qu'elle ait été pratiquée avec précaution (y compris nettoyage du pénis ou des objets pénétrants avant et après l'acte afin d'éviter toute infection) et l'élémentaire lubrification.
Ne pas lésiner sur la quantité de lubrifiant, si nécessaire. Les principaux désagréments connus sont l'apparition d'hémorroïdes (surtout avec l'âge ou un mauvaise préparation avant l'acte), une certaine contracture (constipation) ou un certain relâchement local (diarrhée) - suivant comment se passe l'acte, aussi.
Mais, même s'il est réalisé avec précautions, l'acte n'est pas pour autant sans conséquences. Tout d'abord parce que, suivant les idées reçues populaires, l'acte peut exacerber quelques réticences et donc des crispations ou tensions.
Ensuite parce que tout muscle peut devenir douloureux ou souffrir d'irritations suivant les humeurs, avec les sollicitations ou avec l'àge.
Enfin, parce que le muscle peut perdre de son élasticité avec le temps ou avec l'àge également. Dans tous les cas, il n'en reste pas moins que la zone restera sensible même au delà et sa sollicitation sans pénétration pourra être très appréciée.
Pour bien apprécier l'acte et préparer l'anus à la pénétration, il est primordial d'être complétement détendu(e), de vider le rectum si on en ressent le besoin et appliquer une lubrification / crème appropriée.
Mais ce plaisir est personnel : autant ce muscle pourra apporter un certain plaisir chez quelques-uns, autant il n'en sera rien du tout chez d'autres.
Dans tous les cas, proscrire définitivement l'utilisation d'huile végétale ou de graisse animale en cas d'utilisation de préservatif car ils peuvent altérer le latex.
Ne pas hésiter à avoir recours aux préliminaires, une première excitation orale ou vaginale aide à la mise en confiance et à la détente musculaire. Renouveler l'application du lubrifiant au cours du coït anal et aussi souvent que nécessaire.
Le rectum étant particulièrement irrigué, il peut survenir de petites lésions de vaisseaux au cours du coït et s'ensuivre de légers saignements sans gravité. Appliquer alors une crème cicatrisante (celle préconisée pour les hémorroïdes du type Proctolog, par exemple)
Enfin, certains ou certaines trouvent une plus grande facilité lorsqu'ils ou elles poussent vers le pénis ou l'objet pénétrant et en garde la maîtrise du mouvement plutôt que de sentir la pression de ce dernier contre l'orifice anal.