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Wheelchair.ch Le site qui «en dit plus»
Jeux Paralympiques de Sotchi 2014
Sochi Paralympic Games 2014
Vivez l'évènement comme si vous y étiez !
du 7 au 16 mars 2014
«Lorsqu’il est question d’accomplissements personnels,
les seules limites existantes sont celles de l’imaginaire»
(M. Partick Roberge, président et directeur créatif de COVAN, organisatrice de la cérémonies des Jeux Paralympiques de Vancouver)
La compétition accepte des athlètes hommes ou femmes avec un handicap physique comme un traumatisme de la colonne vertébrale, une déficience motrice cérébrale, une amputation, " les autres conditions " et une cécité ou déficience visuelle.
Les athlètes concourent dans trois catégories selon leurs capacités fonctionnelles. Les skieurs aveugles ou déficients visuels sont dirigés par des guides voyants, qui leur indiquent la piste à suivre à l’aide de signaux.
Certains athlètes utilisent un équipement adapté à leurs besoins, comme un seul ski, un système de sit-ski (fauteuil-ski) ou des appareils orthopédiques
Le curling en fauteuil a été introduit au programme Paralympique de Turin en 2006.
Les différences les plus marquantes entre Curling et Curling sur fauteuil sont le maniement de la pierre, la manière dont les joueurs se déplacent autour de la surface de jeu et le fait qu’il n’y a pas de techniques de balayage.
Ce sport n’en est même plus complexe d’un point de vue technique que le curling traditionnel.
À propos de la discipline :
Depuis ses débuts aux Jeux Olympiques d’hiver de Lillehammer en 1994, la version paralympique du hockey sur glace est rapidement devenue une des disciplines qui attire le plus de spectateurs. Le hockey sur luge est un sport rapide, très physique et joué par des athlètes masculins ayant un handicap physique dans la partie inférieure du corps. Pour en savoir plus sur le hockey sur luge…
Biathlon
À propos de la discipline :
Le biathlon a été introduit en 1988 à Innsbruck pour les athlètes handicapés physiques.
En 1992, les athlètes handicapés visuels ont été autorisés à concourir.
Les athlètes aveugles ou déficients visuels sont guidés par des signaux acoustiques, dont l’intensité dépend de la visée de l’athlète par rapport à la cible.
Le ski de fond a fait son entrée en 1976 lors des Jeux Paralympiques d’hiver à Örnsköldsvik, en Suède.
La compétition est ouverte aux athlètes handicapés physiques ou visuels (cécité ou déficience). Selon son handicap fonctionnel, le concurrent peut utiliser un sit-ski (un fauteuil-ski), un siège équipé d’une paire de skis. Les athlètes avec un handicap visuel sont dirigés par un guide à la vue normale.
Les athlètes hommes ou femmes concourent sur des distances courtes, moyennes ou longues (de 2,5 à 20 km), ou participent à des relais en utilisant des techniques classiques ou libres.
Animation de l'Évolution du nombre de délégations et la répartitions des pays participant aux Jeux Paralmpiques depuis 1976 :
Source L'Équipe
Les premiers Jeux paralympiques d'hiver ont eu lieu il y a près d'un quart de siècle, en 1976, à Ornskolddsvike (Suède)
Invités aux Jeux paralympiques d'été de Londres 2012, les athlètes du sport adapté (déficience mentale) ne sont pas conviés aux Jeux d'hiver de Sochi…
Le relais de la flamme paralympique durera dix jours, du 26 février au 7 mars 2014. Il traversera 43 villes et 8 régions russes, brandie par plus de 1 500 relayeurs.
Les jeux olympiques de Sotchi sont déjà les plus onéreux de l'histoire, avec un coût de plus de 40 milliards d'euros. Environ 100'000 militaires, policiers et agents du renseignement sont mobilisés pour assurer la sécurité des Jeux, le plus grand événement international organisé par la Russie depuis la fin de l'URSS en 1991.
Évidemment, pour les Jeux Paralympiques, il faut diviser cela par plusieurs milliers tant la différence est grande. Mais bon, ce comparatif donne quelques idées de grandeur pour les infrstructures dites d'ordre général…
Ainsi, avec 520 millions de dollars par évènement, Stochi sort largement en tête du classement devant Londres 2012, Barcelone en 1992 et Pékin 2008, tous les trois des Jeux d'été. Il n'y a pas de comparaison possible avec d'autres Jeux d'hiver.
Pékin est affiché avec un coût de 142 millions de dollars, soit près de quatre fois moins. Mais si on inclut les frais directement imputables aux Jeux olympiques chinois, le coût total monte à 43 milliard, sachant que Pékin comprenait 302 évènement là où Sochi n'en comprend que 98.
Au final , on estime que Sotchi aura coûté un total d'au moins 51 milliards de dollars aux contribuables russes, soit environ 39 milliards de plus que le budget d'origine.
Bienvenue dans la Maison des Mascottes - Willkommen im Maskottchenhaus
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Une opportunité pour l'accessibilité locale ?
En effet, président du comité d'organisation de Sotchi 2014, Dmitry Chernyshenko, se félicite des travaux entrepris dans ce domaine : « Nous voyons Sotchi se transformer en la capitale d'un environnement russe accessible à tous. »
La ville s'est équipée de rampes, passages piétons et véhicules adaptés. Tous les sites sportifs sont construits conformément aux conditions d'accessibilité, et totalement adaptés aux besoins des athlètes paralympiques, comme l'a déjà prouvé la saison paralympique des activités-test.
Un environnement sans barrière mais, surtout, l'espoir de « mettre fin aux stéréotypes sur les personnes handicapées qui existent toujours en Russie, poursuit-il. Ces jeux contribuent déjà à changer la vie des 13 millions de Russes handicapés de façon positive. »
(source : Handicap.fr)
Maria Komissarova, la skieuse acrobatique finit paralysée
Victime d’une fracture à la colonne vertébrale - vertèbre thoracique T12 avec déplacement - consécutive à une chute lors d’un entraînement de skicross aux JO de Sotchi, skieuse acrobatique russe de 23 ans native de Saint-Pétersbourg, Maria Komissarova, ne retrouvera plus l’usage de ses jambes.
Tombée dans les «vagues», une série de bosses rapprochées sur le parcours de Rosa Khoutor, elle a été transportée d'urgence à l'hôpital N.8 de Krasnaïa Polïana construit spécialement pour les J.O. où elle a subi une intervention chirurgicale de plus de six heures, le soir même, avant d'être ensuite héliportée le 16 février dans une clinique de rééducation spécialisée de Munich le lendemain pour une deuxième opération.
Maria Komissarova avait écrit en février, sur son compte Instagram, un message empreint d'optimisme : "Je ne sens plus mon corps en-dessous du nombril. Mais je suis forte et je sais que je serai sur pied un jour". Pour les médecins, si cela devait arrivé un jour, ce sera avec du matériel érgothérapique et une longue période de rééducation.
Depuis la reconnaissance par les instances internationales du skicross en 2003, cet accident à Sotchi constitue le quatrième accident grave à déplorer après celui du Français Florent Astier qui, le 24 janvier 2010, avait perdu l’usage de ses jambes après une chute à Lake Placid ou, plus dramatique encore, celui du Canadien Nick Zoricic, décédé le 10 mars 2012 des suites d'un lourd traumatisme neuro-crânien après une lourde chute sur la tête survenue lors d'une course de Coupe du monde à Grindelwald (Suisse).
L'ancien skieur alpin de 29 ans s'était déporté à la sortie du dernier saut du parcours et avait violemment percuté les filets de protection situés au niveau de la ligne d'arrivée.
Deux mois auparavant, le ski freestyle canadien avait déjà été endeuillé par le décès d'une des stars du half-pipe, Sarah Burke, à la suite de dégâts irréversibles infligés au cerveau lors d'une chute à l'entraînement à Park City (Utah/USA).
Enfin, en 2007, la Française Sandra Laoura avait été gravement touchée au dos en chutant à l'entraînement du ski freestyle. Depuis, elle n'a pas retrouvé l'usage de ses jambes et se déplace en fauteuil roulant.
Pourrait-on alors parler de disciplines dangereuses ?
(source : Le Matin, FranceTV Info, Le Huffington Post, Daily Mail MailOnline, Le Figaro, 20Minutes)
Grave accident du skieur américain Tyler Walker
Le skieur de 27 ans, Tyler Walker, a chuté violemment dans l'épreuve de la descente homme assis. L'athlète amputé a dû être transporté en hélicoptère à l'hôpital. Il est conscient et dans un état jugé stable.
Lancé à pleine vitesse sur les pentes de Rosa Khoutor, le skieur originaire d'Aspen dans le Colorado a décollé sur une bosse et basculant vers l'avant, l'athlète a fait plusieurs tours sur lui-même, sa tête heurtant à plusieurs reprises le sol.
« Je vais bien. Je ne me souviens pas d'être tombé mais je ne me suis rien cassé. Merci beaucoup pour tous ces soutiens, cela signifie énormément pour mois. Au moins, j'ai pu faire un tour dans un hélicoptère russe », a écrit le sportif après sa mésaventuresur sa page Facebook, cité par le New York Times
(source : FranceTV Info)
Au lendemain de cette chute, RMC Sport relayé par le Figaro nous gratifie d'un mini reportage aussi absurde que révélateur de l'ignorance des auteurs.
Thème du jour : "La dangerosité du ski en fauteuil"… Comme si à chaque fois qu'un skieur valide sortait de piste, qu'un tennisman se faisait une luxation ou qu'un coureur valide se faisait un claquage,on criait à la dangerosité de ci ou de ça !
Ridicule et stérile… Et d'autant plus ridicule que ces mêmes ignares ne se sont même pas posé la question, celle-ci par contre pleinement sensée, de la "dangerosité" des applaudissements et bruits autour de l'aire d'arrivée des skieurs aveugles quand ceux-ci ont justement besoin de silence pour entendre leur guide !
Alors que justement, là, des accidents comme celui de Thomas Hugo, le skieur aveugle suisse qui s'est déchiré un ligament du genou gauche à Sotchi, sont peut-être évitables…
Remarquable timbre commémoratif des Jeux Paralympiques de Sotchi édité en République Tchèque
Les jeux de Sochi mettent en évidence le traitement réservé aux personnes handicapées en Russie
À l'âge de 10 ans, Yulia Simonova a fait une lourde chute en gymnastique, lui facturant le dos. Elle a alors commencé une nouvelle vie en fauteuil roulant
« Je ne pouvais plus aller à l'école car je n'étais plus acceptable", dit elle, aujourd'hui trentenaire vivant à Moscou. Les professeurs venaient me donner des leçons à domicile et des devoirs à faire. Loin des autres, c'était si ennuyeux. »
Aujourd'hui, elle travaille auprès du cabinet d'avocats Perspektiva, s'assurant que les élèves handicapés soient bien intégrés dans les classes avec les autres élèves de leur âge plutôt qu'isolés à leurs domiciles.
En Russie, on estime qu'un dixième de la population, soit environ 13 millions de personnes, vivent avec un handicap.
Mais malgré quelques gros progrès dans ce domaine aussi, essentiellement dans les grandes villes d'ailleurs, les accès tels que transports publics ou bâtiments, restent encore très souvent difficiles. Les portes sont en générales trop étroites, surélevées et sans rampe.
Le manque d'accès isolent ainsi ces personnes handicapées, démunies dans leur quotidien.
Depuis 2007 et la sélection de Sotchi pour les Jeux, la Russie a fait d'énormes investissements. En 2011, elle a entamé un plan d'aménagement pour améliorer l'accessibilité offerte aux personnes handicapées. Cependant, les fonds, vites épuisés, ont été uniquement alloués aux régions les plus riches, celles qui y avaient le plus participé.
L'année suivante, la Russie a ratifié la Convention européenne donnant aux personnes handicapées les mêmes droits que les personnes valides. En 2013, une nouvelle loi est entrée en vigueur, donnant le droit aux enfants handicapés de suivre la même scolarité que les enfants valides, dans les établissements scolaires.
À cette époque, seulement deux cinquième des 450'000 élèves handipés suivaient une scolarité normale et autant étaient jugés tout simplement "inapte" alors que plus d'un enfant handicapé sur dix devaient suivre une scolarité adaptée très loin de son domicile.
« Aujourd'hui, les professeurs et parents comprennent enfin ce que l'intégration à l'école signifie car il y a cinq ans, ils n'en savaient encore rien… »
Lire l'article complet sur CBC
Décidément aussi politiques que sportifs, avant même leur commencement, ces Jeux olympiques de Sotchi ont été le théâtre de toute une polémique autour de la sexualité des participants… La chaîne publique anglaise Channel4 en a fait une vidéo humoristique :
Sir Ludwig Guttmann (1899 - 1980), médecin neurologue de l'hôpital de Stoke Mandeville près de Londres, eut l'idée d'organiser dès 1948 dans son établissement, les premiers "Jeux mondiaux des chaises-roulantes et des amputés" (World Wheelchair and Amputee Games) connus plus tard sous le nom de Jeux de Stoke Mandeville et destinés à la réhabilitation par la pratique du sport, des vétérans et victimes de la Seconde Guerre mondiale devenus paraplégiques.
Il les fit coïncider avec les Jeux olympiques de Londres 1948.
Son rêve englobait une compétition mondiale de sports pour les personnes ayant un handicap, laquelle se tiendrait tous les quatre ans comme une «équivalence au Jeux olympiques».
Douze années plus tard, avec les 9ème jeux de Stoke-Mandeville à Rome, une semaine après les Jeux olympiques d'été de 1960, son rêve devenait une réalité.
On considère donc que les premiers Jeux paralympiques ont eu lieu à Rome en Italie en 1960. Ils réunissaient 400 athlètes de 23 pays.
À l’origine, seuls les athlètes en fauteuil roulant avaient été invités à participer à la compétition.
Depuis ces débuts, les Jeux paralympiques ont pris de l’ampleur de manière dramatique. Les Jeux paralympiques de nos jours comprennent six catégories importantes d’athlètes : personnes avec déficience visuelle, personnes ayant un handicap physique, les athlètes amputés, les personnes ayant une infirmité motrice cérébrale, les personnes ayant un traumatisme médullaire, et Les Autres – athlètes ayant un handicap physique non compris dans les catégories précitées (exemple : personnes ayant une dystrophie musculaire.
Les Jeux paralympiques se déroulent dans le cadre de deux saisons : été et hiver.
La première édition des Jeux paralympiques d'hiver a eu lieu en à Örnsköldsvik en Suède en 1976 à laquelle participaient 12 pays dans des épreuves de ski de pente et ski de fond.
Réduits aux seuls personnes en fauteuil puis handicapés physiques, les Jeux paralympiques sont également ouverts aux personnes atteintes de paralysie cérébrale depuis les Jeux d'Arnhem, en 1980.
Et depuis les Jeux paralympiques d’été de Séoul en 1988, les Jeux olympiques et les Jeux paralympiques sont organisés dans la même ville.
En 1992, le cycle de quatre années a été modifié de sorte que les Jeux paralympiques d’hiver et d’été coïncident avec les Jeux olympiques. (source: Paralympic education Canada et Wikipedia)
Le CIP a été fondé le 22 septembre 1989 à Düsseldorf en Allemagne pour remplacer le Comité international de coordination des organisations mondiales de sport pour les handicapés qui avait été créé en 1982.
Il comprend 160 comités paralympiques nationaux et regroupe 5 fédérations sportives internationales :
la Fédération internationale des sports en fauteuil roulant
la Fédération internationale des sports pour déficients visuels
la Fédération internationale des sports pour personnes handicapées
la Fédération internationale de sports et de loisirs pour infirmes moteurs cérébraux
la Fédération internationale des sports pour personnes handicapées mentales
La spécificité du Comité international paralympique est de représenter plusieurs sports et plusieurs handicaps.
Le CIP a son siège à Bonn en Allemagne.
Le président du Comité international paralympique est Phil Craven, ancien capitaine de l'équipe anglaise de Basket-ball en fauteuil roulant.
La première compétition internationale de sport pour malentendants fut organisée à Paris en 1924, connu sous le nom de «The Silent Games».
Ces jeux furent organisés par le CISS (anciennement Comité International des Sports Silencieux, maintenant Comité International des Sports des Sourds) et ils ont réuni 145 athlètes en provenance de 9 pays européens.
Ces jeux mondiaux ont lieu tous les quatre ans depuis 1924 (sauf pendant la Seconde Guerre mondiale), et s'appellent maintenant les Deaflympics.
Les Deaflympics 2005 à Melbourne (Australie) ont réuni 2300 athlètes de 75 pays.
Le CISS maintient des jeux séparés pour les athlètes malentendants afin de tenir compte de leurs besoins spécifiques en communication et pour favoriser l'interaction sociale qui reste un élément essentiel du sport.
Le sport pour personnes handicapées mentales a commencé à être organisé dans les années 1960 par le mouvement Special Olympics.
Ces compétitions ont commencé pendant des camps d'été organisés par Eunice Kennedy Shriver (1921 - 2009) à partir de 1962. Les premiers Special Olympics internationaux ont eu lieu en 1968 à Chicago.
Une fédération internationale fut créée en 1986, la International Sports Federation for Persons with Intellectual Disability (INAS-FID), pour encourager et développer les sport de haut niveau avec des athlètes ayant un handicap mental. (source: Wikipedia)
Le drapeau paralympique se compose de trois virgules, rouge, verte et bleue, qui représentent respectivement les trois composantes de l’homme : le sens, le corps et l’esprit. Ces couleurs sont également celles qui reviennent le plus souvent sur les drapeaux nationaux.
En fait, en 1994, dans la foulée des jeux Olympiques d'hiver de Lillehammer (Norvège), le drapeau paralympique est contraint de gommer deux des cinq symboles qui le représentaient alors. Il fallait des symboles autres que des anneaux et avec un nombre différent de cinq pour ne pas être confondus avec les couleurs olympiques. Au delà, la forme était laissée à la libre imagination, toute interprétation: pétales de fleur? gouttes d'eau? virgules? nuages? Peu importe le symbole. Aujourd'hui, l'étendard paralympique n'arbore donc plus que trois de ses symboles.
La prochaine médaille d'or sera la 50ème aux Jeux Paralympiques d'hiver, la Suisse ayant déjà gagné en tout - hiver et été confondus - 152 médailles, dont 49 d'or, 55 d'argent et 48 de bronze.
La Suisse a raflé 10 médailles d'or aux Jeux de 1976 et 1998.
En 2010, Christoph Kunz a gagné la seule médaille d'or de la Suisse lors des Championnat du monde aux USA. C'est la dernière médaille d'or de la délagation.
Christoph Kunz a également gagné la médaille d'argent aux Jeux de Vancouver 2010.
La Suisse a gagné 277 médailles aux Jeux d'été, dont 84 médailles d'or.
C'est en Athlétisme Handisport que la délégation helvétique a le plus de mérite avec pas moins de 183 médailles.
Après une chute pendant la descente, la Suisse ne remporte encore aucune médaille en Super-G.
Michael Brügger occupe à nouveau le rang de meilleur Suisse, comme dans la descente, en franchissant la ligne d’arrivée à la cinquième place… Lire le communiqué de presse du 10.03.2014
Médaille d'Or pour la Suisse avec Christoph Kunz en slalom géant assis !!
Bravo champion…
Les Vidéos des Athlètes suisses
Hugo Thomas, althète malvoyant, fait une mauvaise chute. Son rêve de médaille pour ces JO de Sotchi, raconté dans ce numéro spécial de Swiss paralypic, s'est envolé…
Voici la liste officielle des chaînes de radio-télévision qui se sont officiellement engagées à couvrir un minimum les Jeux paralympiques de Sotchi avec des comptes-rendus ou des extraits, même si parmi celles-ci une petite poignée va retransmettre en direct ou offrir une couverture équivalente à celles déjà offertes aux Jeux olympiques :
Allemagne : ARD / ZDF
Angleterre : Channel 4
Argentine : American Movil
Australia : ABC
Autriche : ORF
Belgium : VRT / RTBF
Belize : American Movil
Bolivie : American Movil
Brésil : Globo / Sportv
Bulgarie : BNT
Canada : CBC/Radio Canada
Chili : American Movil
Chine : CCTV
Colombie : American Movil
Costa Rica : American Movil
Croatie : HRT
Cuba : American Movil
Republique Tchèque : Televize
Republique Dominicaine : American Movil
Équateur : American Movil
El Salvador : American Movil
Finlande : YLE Yleisradio Oy
France : France Télévisions&nb (diffusé également dans 45 pays africains)
Guatemala : American Movil
Guyane : American Movil
Honduras : American Movil
Islande : Rikisutvarpid
Irelande : RTE Radio Telefis Eireann
Italie : RAI
Japon : NHK + Sky Perfect
Kazakhstan : KTV Kazsport
Mexico : American Movil
Pays Bas : NOS Nederlandse Omroep Stichting
New Zealand : Attitude Pictures
Nicaragua : American Movil
Norvège : NRK Norsk Rikskringkasting As
Panama : American Movil
Paraguay : American Movil
Pérou : American Movil
Pologne : TVP Polskie Telewizja
Russie : VGTRK/RBC TV
Serbie : RTS Radiotelevizija Srbije
Slovaquie : STV Slovenska Televizia
Slovenie : Radiotelevizija Slovenija
Afrique du Sud : Supersport
Corée du Sud : KBS + MBC + SBS
Espagne : TVE Corporation de Radio y Television Espanola
Surinam : American Movil
Suède : SVT Sveriges Television Ab
Suisse : SRG Société suisse de Radiodiffusion et Télévision
Turquie : TRT Turkiye Radyo-Televizyon Kurumu
Ukraine : NTU Natsionalna Telekompanya Ukrainy
Uruguay : American Movil
USA : NBC + NBCSN + USOC
Venezuela : American Movil
Cette liste ne garantie malheureusement rien, les sociétés de communication ne s'y engageant qu'au "service minimum" !
La vraie liste des chaînes diffusant respectueusement les Jeux avec des directs et des retransmissions intégrales est à chercher ci-après…