Wheelchair.ch
Le site qui «en dit plus»
 
Handicap et Divinités
-> INFO / FUN Liens Web @ <-
Faire un don / Donate Traduction automatique ➤➤
Et si Dieu était lui-même handicapé ?
Comprendre le Handicap, son interprétation, son exclusion!
Dieu et la maladie ou l’infirmité
Divinités Grecques Divinités Romaines Divinités Nordiques
Divinités Mayas Divinités Incas Divinités Aztèques
Divinités Égyptiennes Divinités Celtes Divinités Amérindiennes
Divinités Germaniques Divinités Polynésiennes Royaumes oubliés
Liens utiles
Chercher le mot dans cette page
 
Si Dieu existe, il souffre probablement d'un handicap... mais duquel ?
Option Raison
Dieu est aveugle Il faut qu'il le soit pour faire face à toute la misère du monde sans réagir...
Dieu est sourd Il faut qu'il le soit pour ne pas entendre les cris de détresse...
Dieu est schizophrène Dieu a fait l'homme à son image. Oui, mais lequel? Le sportif, beau et fort? L'intellectuel boutonneux? Le malade chétif et craintif? L'asocial bourru et désagréable? Le voleur malhonnête et fourbe?... Et si simplement Dieu ne savait plus trop qui il est vraiment, se croyant tantôt conquérant, tantôt assiégé, tantôt fier, tantôt misérable et que du coup ses créations, à son image, changeaient elles aussi...
Dieu est handicapé moteur Dieu est devenu impotent à force d'avoir été omnipotent.
Dieu a été omniprésent, traversant ciel et terre pour être près des plus faibles, généreux avec eux, mais aussi aux côtés des plus forts, dur et juste avec eux.
Dieu a traversé les pièges, il a traversé le temps.
Mais pourtant, des inégalités s'accentuent et Dieu manque à son devoir d'équité. Pourquoi? Pourquoi Dieu ne vient-il plus toujours combattre l'injustice et le mal en apportant son soutien aux déshérités, aux malades, aux victimes ? Peut-être parce que Dieu n'arrive plus à se déplacer aussi facilement qu'avant...
Dieu est diabétique La vie est sucrée pour les uns, trop sucrée. La vie est fade, pas assez sucrée pour d'autres. Si Dieu est à l'origine de la vie, alors il y a problème avec son taux de sucre...
Dieu est asthmatique Dieu s'est engagé au quotidien dans toutes les causes du monde. Omniprésent, omniscient, il a relevé tous les défis et s'en est sorti victorieux. Pourtant le mal nous ronge tous, il s'installe sournoisement un peu partout sans que Dieu ne parvienne à le maîtriser. C'est que d'être Dieu, c'est épuisant. Il faut se rendre à l'évidence, Dieu n'est plus l'athlète qu'il était, il a perdu de sa superbe: désormais, il a le souffle court...
Dieu souffre d'alzheimer À force d'être, d'avoir été et de le rester encore, Dieu a perdu ses repères, il a perdu la tête.
Dieu a oublié les hommes, il en a abandonné beaucoup dans la misère, dans la souffrance. Dieu a rendu les hommes athés, las d'être sans nouvelles et de n'avoir aucune trace de son existence. Mais en fait, Dieu ne donne plus de signe de vie car peut-être il ne sais lui-même plus où il est...
Dieu est handicapé mental Dieu a fait l'homme à son image, mais lequel? Dieu a imaginé le monde, mais le monde court à sa perte. Dieu a imaginé la vie, mais la vie est trop courte pour celui qui en jouit et trop longue pour celui qui en souffre. Dieu serait omniprésent et pourtant il est nulle part. C'est que Dieu ne sait plus trop bien ce qu'il fait, il est désorienté. Si les choses n'ont pas de sens, c'est que Dieu lui-même a perdu son bon sens...
Dieu est paranoïaque Dieu est bon et juste. Il a raison du démon. Pourtant le mal est partout. Comment Dieu peut-il encore espérer avoir raison d'une chose aussi omniprésente? S'il ne l'était pas déjà, il est sûrement devenu paranoïaque depuis...
Normal après tout puisque Dieu est paniqué, la Sainte vierge en atteste.
Dieu est muet Nul ne comprend les desseins de Dieu. Normal, puisque pour tous, la voix du seigneur est imperméable. C'est donc que Dieu est muet...
Dieu souffre de sclérose Dieu est généreux, compréhensif, bon. Oui, mais il l'est de moins en moins. Il devient de plus en plus rigide, assis sur ses convictions. Il a souvent du mal à encaisser la vie, accepter le changement et s'adapter aux évènements. Sûrement qu'il souffre de sclérose...
Dieu est épileptique Le monde suit son court normal quasi tout le temps à quelques excemptions près: Les dérèglements climatiques, les évènements inexpliqués, les tremblements de terre sont là pour en témoigner : Dieu a des crises d'épilepsie...
Dieu est arthrosé Dieu est grand mais il perd peu à peu de sa superbe. C'est que Dieu s'affaisse jour après jour, il a du mal à se mouvoir, il tend les bras de moins en moins souvent. C'est sûrement qu'il souffre d'arthrose...
Dieu est dyslexique Dieu a des mots qui lui appartiennent mais ces maux, il nous les fait partager.
Si Dieu est l'essence d'une vie, il est pourtant celui qui cloisonne les sens.
Si Dieu est la voie, il est pourtant sans voix.
Si Dieu est la solution, il n'est pourtant pas soluble dans l'eau, source de vie.
Dieu souffre d'autisme Plus l'homme est dans la misère, plus ses prières sont profondes et sincères. Pourtant dans un cas comme dans l'autre, Dieu n'en fait qu'à sa tête. Dieu s'est coupé du monde, abandonnant les hommes à leur sort. Mais ce repli sur soi est-il autre chose que de l'autisme...
Dieu est arthritique Dieu aime ses enfants, tous ses enfants, les serviteurs de Dieu aussi mais chez eux, ça se passe en privé, après la messe. Pourtant Dieu de dit rien et laisse ses églises lever les foules ou baisser les pantalons. Pourquoi? Parce que Dieu n'est plus ce qu'il était et ne peux plus s'abaisser jusqu'à voir de pareilles immondices...
Dieu est allergique Il faut qu'il le soit pour avoir un jardin merveilleux, un petit bout de paradis, et de ne même pas il séjourner pour dormir à la belle étoile ou dans un hamac. Sauf que si l'on considère le pollen, les piqûres et autres joyeusetés du même genre, ceci pourrait expliquer cela...
Dieu est…  
   
   
   

Dieu et la maladie ou l’infirmité : l’impureté des corps difformes et souillés

Le regard que porte la religion , reflet de la perception du groupe social sur la maladie et l’infirmité, exprime une organisation sacrée du normal et du pathologique.

« Tout homme qui a en lui une tare ne peut approcher, qu’il soit aveugle ou boiteux, défiguré ou disproportionné, ou bien un homme qui a une fracture du pied ou une fracture de la main, ou s’il est bossu ou atrophié, s’il a une tâche dans son oil, s’il est galeux ou dartreux s’il a un testicule broyé, tout prêtre qui a une tare. ne s’avancera pas pour offrir les sacrifices par le feu à Iahvé. » (Lévitique XXI)

Le stigmate de l’infirmité est synonyme la faiblesse physique et morale : "Infirmus" qui vient du latin "firmus", ferme signifie non ferme, non solide, faible, fragile. Il a donné infirme et infirmière. Cette dénomination est historiquement associée à des représentations dégradantes de pauvreté (mendiants) et de malhonnêteté (voleur). Il y a amalgame entre l’anomalie du corps et une prétendue dégradation de l’âme. Ceci est très apparent dans le tableau de Pieter Bruegel dit l’ancien, Les mendiants, dans lequel il fustige les édiles de sa ville accusés de détournement de fonds publics en les représentant dans leurs habits d’évêque, de maire, de juge etc. affublés d’amputations d’allures monstrueuses et d’appareillages rudimentaires encore plus spectaculaires. Cette stigmatisation par la différence n’est pas totalement généralisée puisqu’on observe une forme de discrimination positive chez les égyptiens anciens avec la représentation d’un architecte royal qui était nain.
(source: Les mécanismes d’exclusion et de marginalisation du corps dans les systèmes de santé, apports de la démarche innovante de la réadaptation par Dr Claude Hamonet)
Comprendre le Handicap, son interprétation, son exclusion

(source : Professeur Claude Hamonet, Médecin-rééducateur, Anthropologue, INSERM)
Étymologiquement, le mot handicap vient d'un jeu anglais "Hand-in-Cap" pratiqué au 16ème siècle où deux marchands s'échangeaient des objets personnels au fond d'un chapeau, sous les yeux d'un superviseur. L'arbitre évaluait les lots et s'assurait de leur équivalence afin de garantir l'égalité de chances des joueurs. Le cas échéant, une compensation financière pour la différence de valeurs estimées était également versée dans le chapeau.
Le "Hand-in-Cap" traduisait alors la situation défavorable, celui d'un un mauvais lot tiré et d'un préjudice d'un côté vis-à-vis de l'autre.

I - Introduction

La culture de nos sociétés apparaît comme une culture de l'exclusion - ce qui reste intrinsèquement un non-sens, puisque la culture naît de la diversité et du mélange des différences. Exclure pour se retrouver, c'est exactement comme si, pour trouver son identité, il fallait la faire perdre à quelqu'un d'autre ou le charger d'une "sur-identité", porteuse de valeurs négatives. L'abord, par le handicap, de cette question nous semble pertinent et permet des généralisations.
En effet, depuis de très longues années nous nous efforçons de comprendre ce que cela représente d'être handicapé, comment on le devient et pourquoi il y a marginalisation ou même exclusion. Au cours de cette exploration du handicap nous avons été confronté avec les notions de maladie, de santé, de guérison, de différence, de monstruosité, du normal et du pathologique, du lien social, de la marginalisation et de l'exclusion, du harcèlement, de la violence, de la réparation et de la vengeance.

II - Exclusions et sociétés, les origines culturelles

L'attitude des sociétés humaines vis-à-vis de leurs handicapés est ambivalente : tantôt ils sont rejetés jusque dans la mort, ailleurs ils sont promus à l'égal des dieux. La première attitude l'emporte nettement sur la première. Mais, dans les pires cas de rejet social, il y a souvent une signification symbolique importante, sous jacente, issue du domaine du sacré. Ce qui est constant, c'est que la différence d'apparence, l'infirmité ont une signification et une utilité sociale. Comprendre ces mécanismes et leur rôle dans nos constructions culturelles est un passage obligé pour comprendre pourquoi ils sont mis à part, leur statut oscillant entre l'exclusion totale, souvent institutionnelle et la marginalité, "ni en dehors de la société, ni pleinement à l'intérieur", selon la formule de Murphy. Tout effort d'intégration à partir de mesures législatives ou autrement est voué à l'échec si l'on fait l'impasse sur l'inter-relation culture et handicap.

Le sens sacré et ambigu du corps infirme.

"Les mythes confèrent souvent aux infirmes et aux malades une signification positive" (Claude Lévi-Strauss). D'une autre façon René Girard considère que : "l'organe augmenté ou supplémentaire joue exactement le même rôle que l'organe manquant". C'est le cas des bossus. L'exploration de la mythologie nous apprend que bien des dieux ont un organe ou une fonction en moins. C'est le cas des six dieux Ojibwa qui sont des aveugles volontaires, de Tikarau, de Skonova chez les indiens Kwakiutl, d'Odin, de Kou, le dieu poly-amputé des Sénoufos. Plus près de nous, la mythologie grecque est également riche avec le cas d'Œdipe et D'Héphaïtos, le premier athénien. Cet artisan boiteux, poursuivra, sans succès, de ses assiduités la vierge Athéna. Il finira cependant par féconder la terre et donnera naissance à Erichthonios, l'ancêtre des athéniens. Quant aux anciens égyptiens ils considéraient que les infirmes, les "faibles d'esprit" étaient des personnes non seulement sacrées mais douées d'un pouvoir particulier. C'est ainsi qu'un des leurs, atteint de nanisme, est devenu l'un des hommes les plus puissants de ce pays. À Samoa, les bossus connaissaient le même sort ; beaucoup d'entre eux entraient dans les rangs du clergé (Webster).
La Bible et le Nouveau Testament font une très grande place à l'infirmité et introduisent, en même temps, une ambiguÏté dont nous n'avons pas encore su nous défaire.

De l'infirmité à l'impureté, l'exclusion sacralisée

C'est dans la Bible, dans le Lévitique, que l'on trouve les règles d'exclusion les plus drastiques. "Aucun homme de ta descendance s'il est taré n'approche pour offrir la nourriture de son Dieu. Que l'homme souffrant d'une tare n'approche pas ni l'aveugle le boiteux ni le défiguré le difforme ni l'homme au pied cassé à la main cassée ni le bossu le rachitique celui qui a une taie sur l'œil la gale l'impétigo ou les couilles concassées que l'homme taré de la descendance d'Aaron la prêtre ne vienne pas offrir les dons à Yhwh.
Taré qu'il s'abstienne d'offrir la nourriture de son Dieu. De la nourriture de son Dieu il peut manger... qu'il n'approche pas l'autel avec sa tare qu'il ne profane pas mes sanctuaires."
La violence sociale qui s'exprime à travers cette exclusion par les "imperfections du corps" est à peine tempérée par le respect que l'on doit aux faibles, profitant de leur limitation fonctionnelle.
"Tu ne médiras point d'un sourd et tu ne mettras devant un aveugle rien qui puisse le faire tomber, car tu auras la crainte de Dieu." C'est aussi une manière de montrer que ces personnes sont faibles comme le mot infirme le suggère avec son origine qui vient de "fermus", ferme, solide.
Ce qui a aussi donné origine au mot infirmière. Pour être digne d'approcher le sacré, il faut donc être indemne de toute lésion corporelle, avoir un corps intègre. Un corps pur, c'est un corps sain! Il y a là une signification du corps qui se retrouve constamment dans la notion de personne. "le corps est la personne" (Yvonne Lambert-Faivre). Ceci est également à rapprocher des réflexions de l'anthropologue David Le Breton sur "Corps et modernité" et sur les rites du corps, le culte du corps y compris celui des "corps percés". Ce rituel en vogue redonne, à celui qui s'y soumet, l'appropriation de son corps. La médecine est également impliquée à ce niveau à travers la démarche de "La santé parfaite", incluant l'apparence et la chirurgie esthétique qui efface les impuretés de l'âge.
C'est la lèpre qui, de très loin, apparaît comme la cause majeure d'impureté. Elle entraîne l'exclusion du lieu de vie de la communauté.
Le christ brisera ces interdits de la religion juive et embrassera les lépreux après avoir guéri les paralytiques et redonné la vue aux aveugles. Il guérira également la femme hémorragique qui est, elle aussi, impure selon le même Lévitique. Par contre l'exclusion par la lèpre sera reprise par l'Église à travers les léproseries ou hôtel des ladres. "Bâties à quelque distance de la ville (200 ou 300 mètres généralement) ces maladreries ont un statut très particulier. Les ladres sont morts au monde. Certains rituels prévoient même une messe des morts lors du départ du ladre, parfois même un simulacre d'enterrement " (Jean Imbert). Cette exclusion se poursuit jusque dans la mort puisque les lépreux ont leurs propres cimetières.
On peut remarquer le rôle de la médecine (celle des prêtres de la Bible) pour diagnostiquer des maladies qui sont d'ailleurs fort bien décrites. Le médecin contemporain a, le plus souvent sans le savoir, hérité d'une parcelle de ce pouvoir sacré puisque, lui aussi, peut exclure par un arrêt de travail ou un certificat d'invalidité. Il peut aussi déclarer quelqu'un en "bonne santé" par certificat et guéri (de nouveau pur ?) par un certificat de guérison après un arrêt de travail.

L'élimination de catégories d'exclus-impurs par la mort sociale ou physique.

Au nom de l'impureté, on exclut un individu du groupe social, le condamnant à ce que nous appelons, avec Louis Vincent Thomas, "une mort sociale". C'est-à-dire à une forme d'existence qui n'a plus le goût de la vie.
(document et source)
Divinités Grecques
Nom Handicap Position
OEdipe Aveugle Prévenus par une prédiction que s'ils avaient un fils, il tuerait son père et épouserait sa mère, Laïos et Jocaste abandonnent leur enfant. Œdipe est recueilli par le roi de Corinthe. Devenu adulte, il recherche qui sont ses parents. En chemin, il rencontre un homme avec qui il se querelle et le tue. Cet homme est Laïos. Arrivé à Thèbes, il résout l'énigme du Sphinx. Pour le remercier, les habitants le font roi et lui donnent pour épouse la reine qui est veuve. Il a donc tué son père et épousé sa mère comme cela avait été prédit ! Mais Thèbes subit la peste et doit rechercher qui est le meurtrier de Laïos. Quand on découvre la vérité, Oedipe se crève les yeux et Jocaste se pend.
Héphaïtos Boiteux Il est le dieu du feu, des forges et des volcans. La légende dit que lorsque Héra lui donne le jour, elle le trouve si boiteux qu'elle le jette en bas de l'Olympe. Il tombe alors dans la mer et est recueilli par Thétis et Eurynomé, qui l'élèvent pendant neuf ans, à l'insu de tous, dans une grotte de l'île de Lemnos, où il fait son apprentissage d'artisan en façonnant des bijoux.
     
     
     
     
     
Divinités Romaines
Nom Handicap Position
     
     
     
     
     
     
     
Divinités Aztèques
Nom Handicap Position
     
     
     
     
     
     
     
Divinités Nordiques
Nom Handicap Position
Tyr Main coupée Tyr est le dieu de la guerre juste et de la stratégie. Ce dieu était prié avant les conseils et avant les jugements.
Odin Borgne Odin est le dieu de la guerre et de la victoire
     
     
     
     
Divinités Incas
Nom Handicap Position
     
     
     
     
     
     
     
Divinités Mayas
Nom Handicap Position
     
     
     
     
     
     
     
Divinités Égyptiennes
Les anciens égyptiens ils considéraient que les infirmes, les "faibles d'esprit" étaient des personnes non seulement sacrées mais douées d'un pouvoir particulier. C'est ainsi qu'un des leurs, atteint de nanisme, est devenu l'un des hommes les plus puissants de ce pays.
Nom Handicap Position
     
     
     
     
     
     
     
Divinités Celtes
Nom Handicap Position
     
     
     
     
     
     
     
Dinités Germaniques
Nom Handicap Position
     
     
     
     
     
     
     
Dinités Polynésiennes
Nom Handicap Position
     
     
     
     
     
     
     
Dinités Amérindiennes
Nom Handicap Position
6 dieux Ojibwa Aveugles  
Tikarau    
Skonova    
Odin    
Kou polyhandicapé  
     
     
       
Autres Liens utiles :
Retour au TOP
Wikipedia - Dilbert Mythologica Bontés Divines Lieux sacrés
Wikipedia - Mythologie MGR2 Historien du Web Mythes  
         
Cliquer ici pour me contacter ou faire des suggestions   Pour plus d'informations, n'hésitez pas à consulter les liens ici